Et si Voltaire n’avait été ni partisan des Droits de l’homme, ni de la tolérance, ni de la liberté d’expression, ni le défenseur de quoi que ce soit d’autre que de son intérêt ? Si ses combats n’avaient été que de l’esbrouffe et ses succès littéraires des cabales haineuses ?
Si on relisait Voltaire, enfin, non en se fiant à ses thuriféraires mais à sa correspondance privée ?
On n’est pas au bout de nos surprises.
http://www.marionsigaut.fr/livre.php?id=7